Jean Luc Lacroix , Photographe: Terres Marines

Rêves de Mer

Sous le ciel sauvage , sur la gréve ou sur le sable, mon regard est porté vers cet horizon mystérieux et envahissant. Seul face à cette immensité l’esprit vagabonde d’une vague à l’autre saisissant du regard le moindre événement qui pourrait, pardessus l’écume et les embruns,attirer voire exciter mon attention .Dans le ciel orné de nuages, les grands voiliers effleurent de leurs ailes les moutons sauvages de ces eaux souvent cruelles, ces goélands qui se jouent des tumultes et des vent marins. Tout ce mélange de fureurs océanes,de grondements et d’odeurs iodées ne font qu’amplifier la beauté de ces rêves et de ces visions imaginaires d’aventures extraordinaires. Pour seul témoin l’écriture de ces spectacles admirables, un couple inséparable, la surface sensible de l’appareil attaché au poignet et mon regard curieux de tout ce monde merveilleux .

Les gens

Paysage de Bretagne

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L’Artiste

Natif de Sète, où j’ai fait mes premiers pas dans la vie jusque à l’adolescence, et déjà curieux de toutes choses que la vie offrait à mon regard.J’ai dû apprendre la vie, les quais du port, les rues de cette villes avec ses couleurs particulières.Je me suis rapidement aperçu que j’étais attiré par la lumière, par l’image.La magie de l’image prenait forme.Trop jeune, trop rêveur, trop captivé par ce qui se passait dehors, le ciel, les vagues, les reflets sur l’eau des canaux, les couleurs des bateaux entrants et sortants du port, les gens, le marché couvert, la rue.Je mémorisais ces images croisées au fil des jours dans mes errances juvéniles.Je photographiais sans appareil à la main.C’est donc très tôt que la lumière, les formes, la vie, les gens m’ont attiré. Puis chagement de ville, chagement de vie.Si la lumière a toujours été mon crédo, l’acte photographique est arrivé dans mon existence plus tard. Mais …Les choses de la vie m’ont obligé d’arrêter cette activité durant quelques temps.Au cours de cette période de disette photographique, j’ai continué à voir le monde au travers de l’oeil du photographe qui sommeillait en moi, je continuais à imprimer dans ma tête les séquences.Avide d’images j’aime photographier ce que je vois, ce que je ressens.L’outil n’est que le prolongement de mon oeil curieux.

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